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UN CONFORT INÉGALÉ
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UNE PERFORMANCE MAXIMALE
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UNE COMBUSTION PROPRE
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LA BÛCHE NATURELLE, LA SOURCE D’ÉNERGIE LA PLUS ÉCOLOGIQUE
- Lutte contre le réchauffement climatique
- Contribue à notre indépendance au pétrole
- Encourage la résilience locale
- Est renouvelable et abondante
- Elle offre un excellent rendement énergétique
- Elle aide à atténuer la pointe de consommation d’électricité en hiver
- Des économies importantes
- Une grande sécurité
- Une grande beauté
- Le plus durable des biens de consommation
- Des gains pour le bâtiment
UN CONFORT INÉGALÉ
Il est vrai qu’un foyer de masse (ou poêle de masse) crée de très hautes températures de combustion. Mais ces hautes températures ne sont pas celles de la surface du foyer. Elles sont confinées dans son cœur et prennent un certain temps à « imprégner » toute la masse.
Grâce à sa capacité d’emmagasinement de la chaleur, le foyer de masse atténue au maximum les variations de température durant le jour. Il assure une régulation de la température dans le bâtiment avec un ou deux degrés d’écart, sur une période de huit à vingt heures.
Les faibles températures de surface produisent une chaleur douce, sous la forme de radiation, plus précisément dans la gamme des infrarouges longs. Le foyer de masse baigne donc le bâtiment dans un environnement de chaleur radiante qui nous pénètre, comme celle émise par le soleil.
C’est la raison pour laquelle un foyer de masse crée les conditions d’un confort ambiant similaire à celui ressenti à l’extérieur pendant les beaux jours ensoleillés de printemps : on se sent comme si on était dehors à 21 ou 22°C, sans les effets désagréables des systèmes de chauffage habituels, surtout durant les grands froids.
On comprend pourquoi le confort engendré par la chaleur rayonnante émise par la masse thermique est si confortable : un foyer de masse est un soleil au cœur de sa maison.
D’origine scandinave et finlandaise, les foyers de masse thermique ou poêles de masse sont reconnus pour l’excellente combustion du bois qu’ils effectuent et leur grande capacité à emmagasiner la chaleur. En anglais, ils sont appelés “masonry heater”.
UNE PERFORMANCE MAXIMALE
Leur importante quantité de maçonnerie, composée en partie d’un matériau réfractaire, joue le rôle d’un capteur thermique, permettant ainsi de brûler une quantité de bois relativement importante (neuf à douze bûches) en un court laps de temps (45 à 75 minutes). Les températures atteignent dans le cœur entre 900°C (1650°F) et 1050°C (1922°F), sans entraîner de surchauffe des bâtiments.
Ainsi, les foyers de masse Feu vert réussissent l’exploit de concilier chaleur très intense en leur cœur et chaleur douce et confortable à leur surface.
La quantité de chaleur dégagée par le conduit de cheminée est relativement faible, ce qui signifie que l’on a extrait toute la chaleur possible du bois. Il faut savoir qu’un feu ordinaire relâche dans l’atmosphère plus des deux tiers de l’énergie du bois sous la forme de gaz imbrûlés, que le foyer de masse réussit à enflammer, d’où sa performance. Les études montrent en effet un taux élevé d’efficacité globale (taux de transfert), soit entre 70 et 80%.
Mais brûler des bûches naturelles dans un foyer de masse est non seulement la façon la plus efficace et la plus performante d’utiliser l’énergie du bois, elle est aussi la plus écologique. Vous comblerez tous vos besoins avec un foyer de masse Feu vert : une indépendance énergétique profitable pour vous avec la meilleure technologie d’énergie renouvelable.
UNE COMBUSTION PROPRE
Il s’avère difficile de brûler efficacement et proprement des bûches naturelles et ce, pour deux raisons. D’abord parce que des feux intenses et relativement volumineux sont nécessaires pour générer une température importante et ensuite parce qu’il est nécessaire d’intensifier encore davantage cette température au sein d’une seconde chambre de combustion.
Ces conditions sont pratiquement impossibles à réunir optimalement dans un poêle aux parois d’acier sans créer une surchauffe dans le bâtiment. La solution offerte par les foyers de masse consiste à stocker cette chaleur dans sa maçonnerie pour la diffuser lentement par la suite au bâtiment, sans surchauffe. La presque totalité des gaz peut alors être brûlée. Les émissions de matières toxiques du foyer de masse thermique (ou poêle de masse) sont si faibles que l’on dit qu’ils réalisent une combustion propre.
Les vieux poêles et foyers non certifiés produisent de 40 à 80 grammes de particules fines à l’heure. L’agence de protection de l’environnement des États-Unis, l’« Environmental Protection Agency » (EPA), a établi une norme à 7,5 grammes à l’heure. Tous les nouveaux poêles vendus aux États-Unis et au Canada sont désormais tenus de se conformer à cette norme.
Il faut préciser toutefois que la norme EPA ne sert qu’à comparer les poêles entre eux. Le taux de particules fines émises à l’heure est relatif et n’informe pas sur ce que va émettre l’appareil sur un horizon de 24 heures. À des fins de compararaison, les appareils ne sont mesurés qu’en régime optimal, autrement dit lorsque le feu est vif et que les clés ne restreignent pas l’entrée d’air. La nuit, après quelques heures de fonctionnement en régime presque stagnant, la pollution est fortement augmentée.
C’est pour cette raison que certains États aux États-Unis et certaines municipalités au Québec comme Saint-Bruno-de-Montarville ont réglementé les types de poêles à bois autorisés en se basant sur une norme plus sévère que la norme de l’EPA. Ils se sont plutôt référés à la norme de Washington, fixée à 4,5 grammes de particules fines à l’heure, qui est la plus sévère en Amérique du Nord.
Or, les émissions de particules fines des foyers de masse se situent encore en deça de cette norme, soit entre un et trois grammes à l’heure. Non seulement ils surpassent toutes les normes, même les plus sévères, mais ils le font en plus en régime optimal au cours de la très grande partie de leur combustion. Alors que les poêles en acier fonctionnent en continu en accusant une perte radicale de performance durant la plus grande partie de la journée, les foyers de masse, eux, font tout le contraire.
Les foyers de masse Feu vert ont une performance optimale pendant presque toute la durée de la combustion qui ne dure qu’une heure et demie. Le reste de la journée, un clapet ferme la cheminée et empêche la chaleur de s’échapper. Un tel équipement ne peut être installé sur un poêle en acier dont l’activité continuelle du feu contraint de laisser la cheminée continuellement ouverte.
L’expérience de l’Écohameau de La Baie, qui se déploie sur environ deux hectares et qui compte la plus grande concentration de foyers de masse au Québec, montre que les foyers de masse des huit résidences du secteur ne créent pas de désagrément dans l’air et procurent une indépendance énergétique par l’utilisation de la meilleure technologie renouvelable, soit le bois.
POUR EN SAVOIR PLUS
La combustion propre du foyer de masse
Dans son bulletin environnemental, le foyer de masse récolte d’excellentes notes au chapitre des émissions de polluants.
L’écologie d’un foyer de masse thermique
LA BÛCHE NATURELLE, LA SOURCE D’ÉNERGIE LA PLUS ÉCOLOGIQUE
LUTTE CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE
Le CO2 (dioxyde de carbone) émis par la combustion du bois provient du cycle du carbone de la matière vivante, en l’occurrence les arbres. Dans ce cycle naturel du carbone, les arbres fixent du carbone durant leur croissance et en dégagent pendant leur combustion ou leur décomposition naturelle. Le bilan de ce qu’ils émettent par rapport à ce qu’ils absorbent est neutre pour l’atmosphère, ce qui n’est pas le cas avec le carbone provenant des ressources fossiles, comme le pétrole.
L’exploitation forestière est donc relativement carboneutre si elle est l’objet d’une gestion forestière durable. Et cela, même si l’utilisation finale en est la combustion aux fins de production d’énergie. Il serait encore plus profitable s’il remplaçait des combustibles fossiles comme le mazout, mais cela n’est même pas nécessaire. Le chauffage au bois se suffit à lui-même pour créer une chaîne d’utilisation du bois qui est relativement carboneutre, pourvu qu’en amont une gestion durable de la forêt soit effectuée.
Le fait que le foyer de masse thermique brûle moins de bois est aussi un avantage. D’autant plus qu’il peut brûler n’importe quelle essence de bois, même les essences non commerciales, et servir au nettoyage et au jardinage des forêts. Étant donné qu’un bon aménagement de la forêt peut en améliorer le rendement, plus on chauffe de bois avec son foyer de masse, plus la forêt pousse et plus grande est notre indépendance énergétique !
Le foyer de masse est donc un atout de taille dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre (CO2) au Québec. Une indépendance énergétique créée avec l’utilisation de la meilleure technologie renouvelable, la bûche naturelle.
Les produits du bois pour lutter contre le réchauffement climatique
Une étude confirme que le bois en tant que matériau et source d’énergie peut participer à la lutte au réchauffement climatique.
CONTRIBUE À NOTRE INDÉPENDANCE AU PÉTROLE
Le Québec est dépendant des énergies fossiles à environ 53 %. Plus de la moitié de l’énergie qui est utilisée au Québec est non renouvelable et est importée. Le déclin de la production pétrolière qui est amorcé va nous contraindre à trouver d’autres sources d’énergie pour remplacer plus de la moitié de notre énergie d’ici une à trois décennies.
Les économies d’énergie vont devenir nécessaires. Mais il est vraisemblable qu’une économie mondiale, par rapport à la raréfaction de l’énergie, doive relocaliser l’activité économique. Notre industrie manufacturière, étant délocalisée en Asie du sud-est et ailleurs, aura besoin d’énergie pour effectuer une telle relocalisation sur le territoire québécois. Il est de plus à prévoir une restructuration des transports et une réorganisation de certains secteurs industriels, ce qui entraînera là aussi une demande énergétique supplémentaire.
Le Québec devra donc compter sur son potentiel d’énergies renouvelables. Les sources les plus mobilisables dans l’échelle de temps imposée par le déclin du pétrole sont celles de l’hydroélectricité, du bois-énergie et de l’éolien. Les autres sources d’énergie renouvelable comme le solaire, la géothermie ou le biogaz, par exemple, devront être exploitées, mais ne pourront compter pour beaucoup d’ici vingt ou trente ans.
Pour ne pas gaspiller l’énergie, il sera crucial d’affecter les bonnes sources d’énergie aux bons usages. Par exemple, la production d’électricité au moyen de centrales thermiques au bois serait tellement peu efficace qu’elle entraînerait un gaspillage de la ressource. En revanche, produire de la chaleur avec le bois en ferait une des sources les plus performantes.
Le bois-énergie comble actuellement environ 7 % de nos besoins énergétiques, ce qui est appréciable. Le bois de chauffage, exclusivement destiné au secteur résidentiel, constitue le tiers de cette production, ce qui représente plus de deux fois l’énergie que produisait la centrale nucléaire Gentilly II.
Si l’on souhaite devenir indépendant du pétrole d’ici vingt ans, ce à quoi nous serons peut-être contraints de toute façon, il est techniquement possible de hausser la production d’énergie à partir du bois jusqu’à ce qu’elle devienne la deuxième source d’énergie, juste après l’hydroélectricité. Le bois est la seule source d’énergie renouvelable qui a le potentiel d’atteindre cet objectif.
Encore faudrait-il que les meilleures technologies soient privilégiées pour protéger la qualité de l’air, comme les foyers de masse pour les résidences individuelles et les chaufferies aux granules ou aux copeaux pour les quartiers et les bâtiments institutionnels et commerciaux.
Le bois-énergie a le potentiel de devenir, au sein d’une stratégie globale d’indépendance énergétique, un des éléments clés.
POUR EN SAVOIR PLUS
État et perspectives énergétiques mondiale et québécoise
Ce rapport dresse d’abord les perspectives futures de production énergétique disponible pour la consommation québécoise.
Etat Perspectives Energetiques QC
ENCOURAGE LA RÉSILIENCE LOCALE
En tant que ressource renouvelable, le bois ne nécessite que du soleil, de l’eau et le sol pour se créer lui-même. Il pousse partout et sa transformation pour le chauffage requiert peu d’énergie. Les maisons du Québec pourraient ainsi réduire leur utilisation des précieuses ressources hydroélectriques. En remplaçant le chauffage électrique par celui au bois, la quantité d’électricité rendue disponible pourrait servir à d’autres usages, comme le transport, un secteur fortement dépendant du pétrole.
Le bois consolide les emplois en région en apportant un revenu supplémentaire aux propriétaires de boisés. De toutes les ressources renouvelables que l’on trouve sur le territoire québécois, le bois-énergie est celle qui engendre le plus de retombées socio-économiques pour les régions et le monde rural, bien avant l’hydroélectricité, l’éolien, les biocarburants, le biogaz, etc.
POUR EN SAVOIR PLUS
État des retombées socio économiques dans les milieux d’accueil selon la taille et la filière de projets énergétiques.
Étude produite par le Groupe de recherches écologiques de La Baie (GREB) pour le compte du Groupe de travail sur le milieu rural comme producteur d’énergie et déposé au ministre des Affaires municipales, des Région et de l’Occupation du territoire.
estimation et retombees socio-economiques
EST RENOUVELABLE ET ABONDANTE
La forêt québécoise est gérée depuis 1986 par une loi sur les forêts qui est basée sur les principes du développement durable. Cette loi a introduit un régime forestier qui impose qu’il ne soit récolté que ce que la forêt est en mesure de produire chaque année. En d’autres termes, notre régime forestier vise à ce que la forêt puisse être exploitée sans jamais l’épuiser.
Le bois issu de nos forêts sert principalement à fournir le marché du bois d’œuvre pour l’exportation aux États-Unis. La crise qui sévit dans ce secteur rend disponible pour d’autres usages des volumes énormes de bois.
Une étude a démontré que, dans la perspective d’une indépendance pétrolière du Québec, il suffirait de consacrer 20 % des arbres disponibles pour la récolte, ce qu’on appelle la possibilité forestière, pour que le bois-énergie devienne la deuxième source d’énergie en importance au Québec en 2030. Le 80 % restant pourrait encore servir à la production de bois d’œuvre.
Il s’avère que ces calculs ne tiennent compte que des essences de bois commerciales. Or, le foyer de masse brûle tout aussi bien des essences non commerciales et du bois mort, ce qui rend disponible une quantité encore bien plus importante de bois.
Un foyer de masse rentabilise les activités de jardinage de la forêt et contribue de cette manière à en augmenter la productivité. Loin d’engendrer une déforestation, il est le meilleur allié des forêts de proximité. En les jardinant avec sagesse, les forêts seront toujours là pour combler nos besoins en chauffage, à un prix qui restera toujours compétitif, car le bois disponible pour le chauffage est partout présent localement et qu’il peut être produit par de très nombreux petits producteurs ou bien encore, par soi-même.
POUR EN SAVOIR PLUS
Le renouvellement de la forêt québécoise – Questions et réponses
Huit réponses sur le renouvellement de la forêt québécoise par le Conseil de l’industrie forestière du Québec.
ELLE OFFRE UN EXCELLENT RENDEMENT ÉNERGÉTIQUE
Le rendement énergétique de la bûche naturelle est le meilleur en raison de la faible transformation qu’elle subit. Elle n’a aucun équivalent dans le domaine des énergies renouvelables.
Le rendement de la production thermique à partir du bois est très élevé, de l’ordre de 75 à 85 %. Cela signifie que lorsqu’on produit du bois destiné à être brûlé, on investit peu d’énergie pour en récupérer beaucoup.
En revanche, le rendement énergétique du bois, s’il sert à produire de l’électricité dans des centrales thermiques, est beaucoup plus faible, soit de l’ordre 30 à 35 %. Le processus de transformation de la chaleur du bois en vapeur d’eau pour faire tourner des turbines qui produiront au bout du compte de l’électricité fait perdre beaucoup d’énergie en cours de route.
Produire de la chaleur avec du bois le moins transformé possible, comme la buche naturelle, dans des systèmes hautement efficaces comme les foyers de masse est de loin la meilleure option. Laisssons à nos rivières le soin de nous approvisionner en hydroélectricité et au bois la tâche de nous chauffer.
ELLE AIDE À ATTÉNUER LA POINTE DE CONSOMMATION D’ÉLECTRICITÉ EN HIVER
La pointe de consommation d’énergie entraînée par la demande de chauffage est problématique pour Hydro-Québec, puisque la très grande partie du chauffage au Québec est électrique. Le transfert d’une part importante du chauffage électrique vers le bois-énergie présenterait un avantage indéniable pour la gestion de l’hydroélectricité en période de pointe.
La part du bois-énergie sous forme de buche dans le bilan énergétique global du Québec est déjà de 2,5 %, ce qui n’est pas négligeable. Pour fin de comparaison, sa part est dix fois plus grande que l’éolien.
DES ÉCONOMIES IMPORTANTES
Le chauffage des locaux et de l’eau, ainsi que la climatisation, compte pour 82% du coût énergétique d’une maison. Le propriétaire d’un foyer de masse Feu vert voit son investissement se payer de lui-même à même les économies engendrées.
En achetant la corde de bois à sa valeur marchande, les économies seront au minimum de 1 000$ par année. Or, des économies bien plus importantes seront générées en se procurant des essences de bois moins prisées ou du bois de rebut, ce dont le foyer de masse s’accommode très bien.
Les foyers de masse, contrairement aux autres systèmes de chauffage au bois, peuvent aisément brûler du bois de moindre qualité, donc beaucoup moins cher, ce qui va engendrer des économies encore plus importantes. Voir à ce sujet le document Quel bois choisir?
L’amélioration de l’inertie thermique de votre maison grâce à votre foyer de masse va aussi réduire la charge de climatisation en été et engendrer des gains économiques supplémentaires.
Le foyer de masse est d’autant plus intéressant économiquement qu’il est une immobilisation comme l’est la maison dans laquelle il a été construit. Il ne déprécie pas comme les appareils de chauffage qui, au bout de dix ans, s’ils ont vraiment servi de chauffage principal, ont épuisé leur vie utile. Un foyer de masse Feu vert, dont la durabilité est exceptionnelle, constitue donc un véritable investissement et une valeur sûre. Il est la seule immobilisation qui se paye toute seule, par les économies engendrées.
Et, en cas de vente de la maison, l’investissement du foyer de masse sera en grande partie récupéré après s’être déjà repayé lui-même, peut-être même quelques fois. De plus, il nous aura servi non seulement de système de chauffage, mais de four à cuisson, de sèche-linge, de foyer d’ambiance, d’attrait esthétique, d’espace de détente et de climatiseur passif durant l’été.
POUR EN SAVOIR PLUS
L’économie d’un foyer de masse
Coût comparé des différents combustibles.
UNE GRANDE SÉCURITÉ
Les feux de cheminée sont la première cause d’incendie. Ils sont provoqués par l’accumulation de créosote produite en présence d’humidité lorsque la température de combustion est faible.
Or, les hautes températures atteintes dans le cœur d’un foyer de masse empêchent toute formation de créosote. Sauf si du bois mouillé est utilisé. Il serait alors possible d’en générer, mais la créosote s’accumulerait alors dans les conduits du cœur, et non dans celui de la cheminée. La créosote serait brûlée sans danger aussitôt que du bois sec serait utilisé. Les feux de cheminée sont donc impossibles avec un foyer de masse.
L’imposant recouvrement du foyer absorbe l’énergie accumulée par le cœur et l’émet à des températures relativement basses. La surface d’un foyer de masse se situe entre 40 et 60°C, ce qui élimine le risque de brûlures. Étant donné que les températures d’auto inflammation (ignition) du bois se situent à 250°C pour les résineux et à 350°C pour les feuillus, les risques que des matériaux combustibles situés à proximité du foyer prennent feu sont inexistants.
Aucun élément électrique n’est intégré au foyer de masse qui fonctionne sans mécanisme, dans la plus grande simplicité. Il n’entraîne donc aucun risque d’incendie de source électrique. En restant chaud durant plusieurs jours, un foyer de masse Feu vert procure même une autonomie en cas d’absence ou de panne de courant prolongées.
Cette sécurité par rapport au réseau électrique pour un besoin aussi essentiel que le chauffage dans un pays froid est indispensable. Un foyer de masse Feu vert serait le meilleur atout en matière de sécurité civile en cas de catastrophe qui surviendrait en hiver.
UNE GRANDE BEAUTÉ
La pierre et la brique sont des choses vraies, authentiques et durables. Leur beauté inaltérable traverse les époques et les modes. Le foyer de masse, qui ne fait appel qu’aux matériaux les plus nobles, s’adapte à chaque lieu et à chaque style, du plus rustique au plus contemporain. Aucun foyer de masse n’est identique à un autre.
Si le cœur Feu vert a été standardisé pour offrir toujours la même performance exceptionnelle, son recouvrement, en revanche, reste l’œuvre d’un artisan inspiré. L’esthétique d’un foyer de masse est toujours personnalisée et les possibilités sont infinies.
La présence d’un foyer de masse Feu vert transforme une résidence et lui donne un cachet incomparable.
LE PLUS DURABLE DES BIENS DE CONSOMMATION
Une philosophie bien particulière anime depuis des siècles la construction des foyers de masse en Europe : ils doivent survivre à la maison dans laquelle ils dont construits. Feu vert perpétue cette tradition dans l’Amérique de la surconsommation et de l’obsolescence programmée en construisant ses foyers de masse dans le même esprit.
Alors que l’on s’attend à changer son téléphone intelligent tous les deux ans, son automobile au maximum tous les dix ans, les fenêtres de sa maison et la décoration intérieure dans le même laps de temps, Feu vert propose un bien qui durera des générations. À peine si l’on peut parler de bien de consommation dans ce cas.
En fait, il serait plus juste de qualifier un foyer de masse Feu vert de bien d’anti-consommation qui utilise de plus un combustible renouvelable et durable par excellence, la bûche naturelle. Garanti à vie, le foyer de masse Feu vert verra plusieurs cures de rajeunissement dans la maison sans qu’il prenne une ride.
De plus en plus de gens rejettent les modes du tape-à-l’œil et du jetable. Le goût pour les choses vraies se fait de plus en plus sentir dans le domaine de l’habitation et, à cet égard, le foyer de masse fascine. Ses matériaux nobles et authentiques, et la durabilité du béton réfractaire industriel de Feu vert, font d’un tel ouvrage un choix de conviction conforme à ses valeurs. Un foyer de masse Feu vert est un choix logique qui nous distingue.
DES GAINS POUR LE BÂTIMENT
Un foyer de masse Feu vert est bon pour soi, mais aussi pour le bâtiment dans lequel il est construit. Son importante masse thermique jouera un rôle majeur dans la stabilité des températures en hiver, mais aussi en été. Alors qu’en Europe les maisons ont très souvent une forte inertie thermique en raison des matériaux de maçonnerie utilisés, les constructions en Amérique, mieux isolées par ailleurs, n’en ont pratiquement pas.
Le foyer de masse vient combler cette lacune et notre résidence intègre alors le meilleur des deux mondes, celui d’une maison bien isolée et dotée d’une masse thermique. Et la chaleur radiante émise par une masse thermique chaude sera même bénéfique pour les fenêtres qui auront moins tendance à s’embuer.
Le foyer de masse augmentera aussi la longévité de la cheminée. Étant le seul système de chauffage qui ne fonctionne qu’une heure trente ou deux heures par jour en moyenne, il est le seul qui peut être doté d’une fermeture de sortie de cheminée. Celle-là reste fermée pour la grande partie de la journée, la gardant chaude et à l’abri des intempéries. Le foyer de masse contribue donc à préserver la valeur de cette immobilisation importante qu’est la cheminée.
Mais un des impacts les plus importants d’un foyer de masse pour un bâtiment concerne l’aménagement intérieur. Loin de constituer un encombrement, il est un lieu de vie et un point d’attraction. Alors que les poêles en acier nous obligent à nous en éloigner en raison de la chaleur importante de leur surface, nous n’avons qu’envie de nous coller contre le foyer. Loin de faire le vide autour d’eux, ils s’intègrent au mobilier et à la vie de la maisonnée.
Le foyer de masse sépare admirablement bien les pièces tout en gardant l’aspect «aire ouverte». S’il est localisé au milieu de l’espace, entre un salon et une salle à manger, par exemple, il permettra que se crée une ambiance différente de part et d’autre, sans impression de séparation. Un foyer de masse Feu vert est un des constituants essentiels d’un aménagement intérieur.