La source des foyers de masse et fours à pizza au Québec

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La meilleure technologie d’énergie renouvelable

UN CONFORT INÉGALÉ

Le foyer de masse crée des températures élevées dans son cœur, non à la surface. Sa capacité d’emmagasinage réduit les variations de température sur 8 à 20 heures, offrant un confort similaire à une journée ensoleillée.

La chaleur douce et radiante émise par la masse thermique rappelle celle du soleil. Un foyer de masse assure un confort similaire à l’extérieur par temps doux, procurant une chaleur rayonnante agréable au cœur de la maison. D’origine scandinave et finlandaise, les foyers de masse, ou “masonry heaters” en anglais, sont réputés pour leur combustion efficace du bois et leur capacité élevée de stockage de chaleur.

UNE PERFORMANCE MAXIMALE

Leur importante quantité de maçonnerie, partiellement constituée de matériau réfractaire, joue le rôle d’un capteur thermique. Elle permet de brûler une quantité de bois relativement importante (neuf à douze bûches) en un court laps de temps (45 à 75 minutes). Les températures atteignent dans le cœur entre 900°C (1650°F) et 1050°C (1922°F), sans entraîner de surchauffe des bâtiments.

Ainsi, les foyers de masse Feu vert concilient chaleur intense en leur cœur et chaleur douce et confortable à leur surface. La quantité de chaleur dégagée par le conduit de cheminée est relativement faible, signifiant qu’on a extrait toute la chaleur possible du bois. Les foyers de masse réussissent à enflammer les gaz imbrûlés, montrant un taux élevé d’efficacité globale (70 à 80%).

Brûler des bûches naturelles dans un foyer de masse est la façon la plus efficace, performante et écologique d’utiliser l’énergie du bois. Vous comblerez tous vos besoins avec un foyer de masse Feu vert : une indépendance énergétique profitable pour vous avec la meilleure technologie d’énergie renouvelable.

UNE COMBUSTION PROPRE

Il s’avère difficile de brûler efficacement et proprement des bûches naturelles et ce, pour deux raisons.  D’abord parce que des feux intenses et relativement volumineux sont nécessaires pour générer une température importante et ensuite parce qu’il est nécessaire d’intensifier encore davantage cette température au sein d’une seconde chambre de combustion.

Stockant la chaleur dans leur maçonnerie, les foyers de masse évitent la surchauffe des bâtiments, assurant une diffusion lente sans émissions de matières toxiques. Ils réalisent ainsi une combustion propre, contrairement aux poêles en acier.

Les vieux poêles et foyers non certifiés produisent de 40 à 80 grammes de particules fines à l’heure. L’agence de protection de l’environnement des États-Unis, l’« Environmental Protection Agency » (EPA), a établi une norme à 7,5 grammes à l’heure. Tous les nouveaux poêles vendus aux États-Unis et au Canada sont désormais tenus de se conformer à cette norme.

Cependant, la norme EPA ne permet que la comparaison entre poêles, ne fournissant pas une indication précise des émissions sur une période de 24 heures. Les mesures se font en régime optimal, ne reflétant pas la pollution accrue pendant la nuit en fonctionnement quasi stagnant.

C’est pour cette raison que certains États aux États-Unis et certaines municipalités au Québec comme Saint-Bruno-de-Montarville ont réglementé les types de poêles à bois autorisés en se basant sur une norme plus sévère que la norme de l’EPA. Ils se sont plutôt référés à la norme de Washington, fixée à 4,5 grammes de particules fines à l’heure, qui est la plus sévère en Amérique du Nord.

Malgré tout, les foyers de masse émettent entre un et trois grammes de particules fines par heure, restant en deçà des normes, même les plus strictes. Contrairement aux poêles en acier, qui subissent une perte significative de performance pendant la majeure partie de la journée, les foyers de masse maintiennent des émissions optimales durant leur combustion.

Les foyers de masse Feu vert ont une performance optimale pendant presque toute la durée de la combustion qui ne dure qu’une heure et demie. Le reste de la journée, un clapet ferme la cheminée et empêche la chaleur de s’échapper. Un tel équipement ne peut être installé sur un poêle en acier dont l’activité continuelle du feu contraint de laisser la cheminée continuellement ouverte.

L’expérience de l’Écohameau de La Baie, qui se déploie sur environ deux hectares et qui compte la plus grande concentration de foyers de masse au Québec, montre que les foyers de masse des huit résidences du secteur ne créent pas de désagrément dans l’air et procurent une indépendance énergétique par l’utilisation de la meilleure technologie renouvelable, soit le bois.

POUR EN SAVOIR PLUS

La combustion propre du foyer de masse
Dans son bulletin environnemental, le foyer de masse récolte d’excellentes notes au chapitre des émissions de polluants.

L’écologie d’un foyer de masse thermique

LUTTE CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE

Le CO2 (dioxyde de carbone) émis par la combustion du bois provient du cycle du carbone de la matière vivante, en l’occurrence les arbres. Dans ce cycle naturel du carbone, les arbres fixent du carbone durant leur croissance et en dégagent pendant leur combustion ou leur décomposition naturelle.  Le bilan de ce qu’ils émettent par rapport à ce qu’ils absorbent est neutre pour l’atmosphère, ce qui n’est pas le cas avec le carbone provenant des ressources fossiles, comme le pétrole.

L’exploitation forestière est donc relativement carboneutre si elle est l’objet d’une gestion forestière durable. Et cela, même si l’utilisation finale en est la combustion aux fins de production d’énergie. Il serait encore plus profitable s’il remplaçait des combustibles fossiles comme le mazout, mais cela n’est même pas nécessaire. Le chauffage au bois se suffit à lui-même pour créer une chaîne d’utilisation du bois qui est relativement carboneutre, pourvu qu’en amont une gestion durable de la forêt soit effectuée.

Le fait que le foyer de masse thermique brûle moins de bois est aussi un avantage. D’autant plus qu’il peut brûler n’importe quelle essence de bois, même les essences non commerciales, et servir au nettoyage et au jardinage des forêts. Étant donné qu’un bon aménagement de la forêt peut en améliorer le rendement, plus on chauffe de bois avec son foyer de masse, plus la forêt pousse et plus grande est notre indépendance énergétique !

Le foyer de masse est donc un atout de taille dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre (CO2) au Québec. Une indépendance énergétique créée avec l’utilisation de la meilleure technologie renouvelable, la bûche naturelle.

Les produits du bois pour lutter contre le réchauffement climatique
Une étude confirme que le bois en tant que matériau et source d’énergie peut participer à la lutte au réchauffement climatique.

Presentation étude CO2 bois

CONTRIBUE À NOTRE INDÉPENDANCE AU PÉTROLE

Le Québec dépend à hauteur de 53 % des énergies fossiles, la moitié de son énergie étant non renouvelable et importée. Avec le déclin pétrolier, des sources d’énergie alternatives doivent être trouvées d’ici une à trois décennies.

L’économie mondiale pourrait relocaliser son activité en raison de la raréfaction de l’énergie. La restructuration des transports et d’autres secteurs entraînera une demande accrue d’énergie, nécessitant une exploitation optimale des sources renouvelables.

Pour préserver l’énergie, il sera essentiel d’allouer judicieusement les sources d’énergie aux usages appropriés. Par exemple, produire de l’électricité avec des centrales thermiques au bois serait inefficace, mais utiliser le bois pour produire de la chaleur serait une option performante.

Actuellement, le bois-énergie comble environ 7 % des besoins énergétiques du Québec. Pour devenir indépendant du pétrole d’ici vingt ans, il est possible d’augmenter la production d’énergie à partir du bois, en favorisant les meilleures technologies, comme les foyers de masse et les chaufferies aux granules ou aux copeaux.

Le bois-énergie a le potentiel de devenir un élément clé dans une stratégie globale d’indépendance énergétique, à condition de privilégier les meilleures technologies pour protéger la qualité de l’air, notamment les foyers de masse pour les résidences individuelles et les chaufferies pour les quartiers et les bâtiments institutionnels et commerciaux.

POUR EN SAVOIR PLUS

État et perspectives énergétiques mondiale et québécoise
Ce rapport dresse d’abord les perspectives futures de production énergétique disponible pour la consommation québécoise.

Etat Perspectives Energetiques QC

ENCOURAGE LA RÉSILIENCE LOCALE

Le bois, en tant que ressource renouvelable, se régénère avec le soleil, l’eau et le sol. Sa transformation pour le chauffage est énergétiquement peu coûteuse, réduisant la pression sur les ressources hydroélectriques au Québec.

Le passage du chauffage électrique au chauffage au bois libérerait de l’électricité pour d’autres besoins, notamment dans le secteur du transport, contribuant ainsi à la diversification énergétique. De plus, le bois-énergie stimule l’économie locale en fournissant des revenus aux propriétaires de boisés, générant des retombées socio-économiques significatives.

POUR EN SAVOIR PLUS

État des retombées socio économiques dans les milieux d’accueil selon la taille et la filière de projets énergétiques.
Étude produite par le Groupe de recherches écologiques de La Baie (GREB) pour le compte du Groupe de travail sur le milieu rural comme producteur d’énergie et déposé au ministre des Affaires municipales, des Région et de l’Occupation du territoire.

Estimation et retombées socio-économiques

EST RENOUVELABLE ET ABONDANTE

La forêt québécoise est gérée depuis 1986 par une loi sur les forêts basée sur les principes du développement durable. Cette loi a instauré un régime forestier qui limite les récoltes à ce que la forêt peut produire annuellement. En d’autres termes, notre régime vise à exploiter la forêt sans l’épuiser.

Le bois de nos forêts alimente principalement le marché du bois d’œuvre exporté vers les États-Unis. La crise dans ce secteur libère d’énormes volumes de bois pour d’autres usages.

Une étude montre que pour atteindre l’indépendance pétrolière du Québec, il suffirait de consacrer 20 % des arbres disponibles à la récolte (la possibilité forestière). Ainsi, le bois-énergie deviendrait la deuxième source d’énergie au Québec d’ici 2030. Les 80 % restants serviraient toujours à la production de bois d’œuvre.

Ces calculs ne tiennent compte que des essences commerciales, mais le foyer de masse brûle aussi bien les essences non commerciales et le bois mort, augmentant la disponibilité de bois.

Le foyer de masse optimise la gestion forestière, sans causer de déforestation. En les gérant judicieusement, nos forêts continueront de répondre à nos besoins en chauffage, à un prix compétitif, grâce à une production locale abondante et à de nombreux petits producteurs.

POUR EN SAVOIR PLUS

Le renouvellement de la forêt québécoise – Questions et réponses
Huit réponses sur le renouvellement de la forêt québécoise par le Conseil de l’industrie forestière du Québec.

» Voir le site

ELLE OFFRE UN EXCELLENT RENDEMENT ÉNERGÉTIQUE

Le rendement énergétique de la bûche naturelle est optimal en raison de sa faible transformation. Elle n’a pas d’équivalent dans le domaine des énergies renouvelables.

La production thermique à partir du bois affiche un rendement élevé, entre 75 % et 85 %. Cela signifie que peu d’énergie est investie pour récupérer une grande quantité de chaleur lors de la combustion du bois.

En revanche, lorsque le bois est utilisé pour produire de l’électricité dans des centrales thermiques, le rendement énergétique est bien plus faible, environ 30 % à 35 %. Le processus de transformation de la chaleur du bois en vapeur d’eau pour faire tourner des turbines entraîne des pertes d’énergie significatives.

La meilleure option consiste à produire de la chaleur avec du bois peu transformé, comme la bûche naturelle, dans des systèmes hautement efficaces tels que les foyers de masse. Laissons nos rivières nous approvisionner en hydroélectricité et confions au bois la tâche de nous chauffer.

ELLE AIDE À ATTÉNUER LA POINTE DE CONSOMMATION D’ÉLECTRICITÉ EN HIVER

La pointe de consommation d’énergie entraînée par la demande de chauffage est problématique pour Hydro-Québec, puisque la très grande partie du chauffage au Québec est électrique. Le transfert d’une part importante du chauffage électrique vers le bois-énergie présenterait un avantage indéniable pour la gestion de l’hydroélectricité en période de pointe.

La part du bois-énergie sous forme de buche dans le bilan énergétique global du Québec est déjà de 2,5 %, ce qui n’est pas négligeable. Pour fin de comparaison, sa part est dix fois plus grande que l’éolien.

DES ÉCONOMIES IMPORTANTES

Le chauffage, la climatisation et l’eau chaude représentent 82 % des coûts énergétiques d’une maison. Cependant, un propriétaire qui opte pour un foyer de masse Feu vert peut rapidement constater que cet investissement se rembourse grâce aux économies réalisées.

En achetant du bois de chauffage au prix du marché, vous économiserez au moins 1 000 $ par an. Toutefois, en choisissant des essences de bois moins courantes ou du bois de rebut, vous pourrez réaliser des économies encore plus importantes, car le foyer de masse est capable de brûler des bois de moindre qualité à moindre coût.

Contrairement à d’autres systèmes de chauffage au bois, les foyers de masse sont flexibles et peuvent fonctionner avec des bois moins chers. Cette efficacité accrue se traduit par des économies substantielles. De plus, l’amélioration de l’inertie thermique de votre maison grâce au foyer de masse réduira également la nécessité de la climatisation pendant l’été, ce qui entraînera des gains économiques supplémentaires.

Le foyer de masse est un investissement durable, à l’instar de votre maison. Contrairement aux appareils de chauffage traditionnels qui se déprécient avec le temps, un foyer de masse Feu vert conserve sa valeur. Il est le seul investissement qui se rembourse de lui-même grâce aux économies générées.

Mieux encore, si vous vendez votre maison, l’investissement initial dans le foyer de masse sera largement récupéré, voire multiplié. En plus de chauffer votre maison, il peut servir de four, de sèche-linge, de foyer d’ambiance, d’élément esthétique, d’espace de détente et même de climatiseur passif pendant l’été1.

POUR EN SAVOIR PLUS

L’économie d’un foyer de masse
Coût comparé des différents combustibles.

Économie_foyer_masse

UNE GRANDE SÉCURITÉ

Les feux de cheminée sont la première cause d’incendie. Ils sont provoqués par l’accumulation de créosote produite en présence d’humidité lorsque la température de combustion est faible.

Or, les hautes températures atteintes dans le cœur d’un foyer de masse empêchent toute formation de créosote. Sauf si du bois mouillé est utilisé. Il serait alors possible d’en générer, mais la créosote s’accumulerait alors dans les conduits du cœur, et non dans celui de la cheminée. La créosote serait brûlée sans danger aussitôt que du bois sec serait utilisé. Les feux de cheminée sont donc impossibles avec un foyer de masse.

L’imposant recouvrement du foyer absorbe l’énergie accumulée par le cœur et l’émet à des températures relativement basses. La surface d’un foyer de masse se situe entre 40 et 60°C, ce qui élimine le risque de brûlures. Étant donné que les températures d’auto inflammation (ignition) du bois se situent à 250°C pour les résineux et à 350°C pour les feuillus, les risques que des matériaux combustibles situés à proximité du foyer prennent feu sont inexistants.

Aucun élément électrique n’est intégré au foyer de masse qui fonctionne sans mécanisme, dans la plus grande simplicité. Il n’entraîne donc aucun risque d’incendie de source électrique. En restant chaud durant plusieurs jours, un foyer de masse Feu vert procure même une autonomie en cas d’absence ou de panne de courant prolongées.

Cette sécurité par rapport au réseau électrique pour un besoin aussi essentiel que le chauffage dans un pays froid est indispensable. Un foyer de masse Feu vert serait le meilleur atout en matière de sécurité civile en cas de catastrophe qui surviendrait en hiver.

UNE GRANDE BEAUTÉ

La pierre et la brique sont des choses vraies, authentiques et durables. Leur beauté inaltérable traverse les époques et les modes. Adapté à chaque lieu et style, le foyer de masse utilise des matériaux nobles, offrant une singularité à chaque exemplaire, du rustique au contemporain.

Si le cœur Feu vert a été standardisé pour offrir toujours la même performance exceptionnelle, son recouvrement, en revanche, reste l’œuvre d’un artisan inspiré. L’esthétique d’un foyer de masse est toujours personnalisée et les possibilités sont infinies.

La présence d’un foyer de masse Feu vert transforme une résidence et lui donne un cachet incomparable.

LE PLUS DURABLE DES BIENS DE CONSOMMATION

Une philosophie bien particulière anime depuis des siècles la construction des foyers de masse en Europe : ils doivent survivre à la maison dans laquelle ils dont construits. Feu vert perpétue cette tradition dans l’Amérique de la surconsommation et de l’obsolescence programmée en construisant ses foyers de masse dans le même esprit.

On prévoit généralement changer le téléphone tous les deux ans, l’automobile tous les dix ans, les fenêtres et la décoration intérieure dans le même intervalle. Feu vert offre un bien durable pour des générations. À peine si l’on peut parler de bien de consommation dans ce cas.

Un foyer de masse Feu vert peut être qualifié d’anti-consommation, privilégiant un combustible renouvelable et durable, la bûche naturelle. Il s’intègre durablement à la maison sans vieillir.

De plus en plus de gens rejettent les modes du tape-à-l’œil et du jetable. Le goût pour les choses vraies se fait de plus en plus sentir dans le domaine de l’habitation et, à cet égard, le foyer de masse fascine. Ses matériaux nobles et authentiques, et la durabilité du béton réfractaire industriel de Feu vert, font d’un tel ouvrage un choix de conviction conforme à ses valeurs. Un foyer de masse Feu vert est un choix logique qui nous distingue.

DES GAINS POUR LE BÂTIMENT

Un foyer de masse Feu vert est bon pour soi, mais aussi pour le bâtiment dans lequel il est construit. Son importante masse thermique jouera un rôle majeur dans la stabilité des températures en hiver, mais aussi en été. En Europe, les maisons ont généralement une forte inertie thermique due aux matériaux de maçonnerie. En Amérique, malgré une isolation efficace, cette inertie est souvent limitée.

Le foyer de masse comble la lacune entre une maison bien isolée et la chaleur radiante d’une masse thermique. Cette combinaison réduit le risque d’embuage des fenêtres.

Le foyer de masse augmentera aussi la longévité de la cheminée. Les foyers de masse Feu Vert offrent une chaleur douce et enveloppante, créant une atmosphère conviviale. Leur design élégant et la possibilité de personnalisation en font un ajout esthétique et fonctionnel à tout espace. Celle-là reste fermée pour la grande partie de la journée, la gardant chaude et à l’abri des intempéries. Le foyer de masse contribue donc à préserver la valeur de cette immobilisation importante qu’est la cheminée.

Mais un des impacts les plus importants d’un foyer de masse pour un bâtiment concerne l’aménagement intérieur. Loin de constituer un encombrement, il est un lieu de vie et un point d’attraction. Le foyer de masse offre une chaleur douce qui incite à s’approcher, créant une ambiance chaleureuse et accueillante. Contrairement aux poêles en acier, il ne nécessite pas de s’en éloigner en raison de la chaleur intense de la surface. Loin de faire le vide autour d’eux, ils s’intègrent au mobilier et à la vie de la maisonnée.

Le foyer de masse sépare admirablement bien les pièces tout en gardant l’aspect «aire ouverte». Placé entre un salon et une salle à manger, par exemple, un foyer de masse crée une ambiance distincte de chaque côté, sans impression de séparation. Il devient un élément essentiel de l’aménagement intérieur.